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  • : Le blog de danielle vioux
  • : Extraits de textes (théâtre, nouvelles, romans, fragments,poèmes, chansons) textes brefs et chroniques, Liens avec d'autres sites d'artistes croisés sur ma route. J'attends d'autres rencontres artistiques, d'autres projets, des propositions pour créer ensemble.
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  • danielle vioux
  • .J'écris pour le théâtre, et aussi  des romans, des nouvelles, des scénarios, de la poésie. J'ai enseigné l’anglais et le théâtre en lycée,  Membre du GRETE ( théâtre / éducation) , des E.A.T , du PEPS. Je mène des actions et monte des projets concernant le théâtre et les auteurs avec le Théâtre des 1001 portes et parfois en partenariat avec Liber Libra.
Lectures, mises en espace ou mises en scène, stages.
  • .J'écris pour le théâtre, et aussi des romans, des nouvelles, des scénarios, de la poésie. J'ai enseigné l’anglais et le théâtre en lycée, Membre du GRETE ( théâtre / éducation) , des E.A.T , du PEPS. Je mène des actions et monte des projets concernant le théâtre et les auteurs avec le Théâtre des 1001 portes et parfois en partenariat avec Liber Libra. Lectures, mises en espace ou mises en scène, stages.

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14 janvier 2011 5 14 /01 /janvier /2011 12:18

masque chinois

 

 

Ce texte,  (protégé mais pas encore publié.......suivez mon regard) est destiné à une troupe d'adultes voulant monter un spectacle pour jeune public à partir du collège. Il parle du monde d'aujourd'hui vu à travers une famille  qui se débrouille comme elle peu tout en essayant d'inventer la vie. Le fils aîné  a écrit sa première pièce de théâtre et tente de la monter avec les autres membres de sa famille, ce qui ne va pas sans difficultés. En même temps j'avais envie de rendre hommage à Brecht avec un sourire fraternel  (craint dégun!) . Et de manière générale à tous les auteurs qui pensent que le théâtre a cette responsabilité là aussi, parler du monde, justement. Et ce texte parle aussi de l'absence, provisoire ou définitive, de ceux qu'on aime, et de comment on se débrouille avec. Et avant tout il parle de l'urgence de vivre, mais aussi de prendre son temps.

 

Comment Kei-Ui détruisit les montagnes 

 

Les présents sur le plateau

Léo, 65 ans, retraité de l’enseignement public (il joue Kei-Ui , dans la pièce de Théo, ainsi que le Sage des montagnes et le peuple)  

Fred, son fils, 45 ans (Chang Yang le paysan, l’Empereur Lê, le peuple)

Théo, son petit-fils, 17 ans (auteur de la pièce dans la pièce, joue le chœur et Tiê Mi l’enseignant)

Nati, sa belle-fille, 40 ans, infirmière ( Li Ying la paysanne, Sang Li le médecin, le chef des pillards, le peuple)

Steve, 27 ans, un voyageur australien

 

Les absents/présents

Sylvie, 64 ans, femme de Léo, en voyage

Valère, 11 ans, frère de Théo, hospitalisé   (le jeune  Chen Gao)

 Armand, père de Léo, grand-père de Fred, arrière-grand-père de Théo, décédé un an plus tôt à l’âge de 96 ans)

 

 

 

*************************************************************************

 

 

 

Scène 1 : C’est comme ça chez nous tous les jours

 

 

 

Léo, Fred, Théo et Nati répètent une scène de la pièce de Théo. Vagues costumes chinois. Texte en main.

 

Théo ( le chœur) : Cette année là, il y eut une grande famine dans les villes.

(les autres  jouent le peuple des villes, cherchent de la nourriture et se plaignent de la faim)

Quelques  pillards se mirent à attaquer les paysans pour leur dérober de quoi manger.

Cela arriva aux oreilles de Kei-Ui, le conseiller de l’Empereur.

 

Nati / le chef des pillards (à Fred/ Chang Yang le paysan) : Nous avons faim ! Vous avez à manger pour nous tous. Donnez-nous la moitié de vos réserves. Et tant que nous y sommes, nous emporterons quelques vases et quelques tapis.

 

Fred / Chang Yang le paysan : Jamais de la vie. Vous n’avez qu’à travailler au lieu d’attendre qu’on vous nourrisse.

 

Nati / le chef des pillards : Mais nous travaillons quand nous le pouvons.

 

Fred / Chang Yang le paysan :  Nous avons tout juste assez pour nous. Pas question de partager.

 

Théo / le chœur : Cela arriva aux oreilles de Kei-Ui, le conseiller de l’Empereur.

 

Léo (Kei-Ui ) : Bonne affaire ! Je deviendrai bientôt Empereur à la place de l’Empereur.

 

Théo/ le chœur : Et en effet, quand le vieil Empereur fut malade, Kei-Ui le fourbe paya grassement un grand nombre de messagers qui s’en allèrent répandre aux quatre coins du pays la rumeur suivante : le vieil Empereur n’était plus capable de défendre le peuple contre les pillards. En revanche, lui, Kei-Ui, se faisait fort de les protéger tous et de les débarrasser des affamés qui les menaçaient.

 

Léo : le vieil Empereur Lê : Eh, attendez un peu ! Je suis encore là !

 

Le peuple : (Nati et Fred) : Vive le nouvel Empereur ! Nous n’avons plus peur ! Kei-Ui nous protègera et résoudra tous nos problèmes.

 

Léo : Excuse-moi Théo mais cette dernière phrase me paraît un peu faible. Ca sent la sitcom américaine à plein nez.

 

Théo : Mais vous êtes pénibles à la fin, on peut improviser là dessus… Kei-Ui nous donnera de beaux programmes télé, Kei-Ui nous donnera un idéal dans la vie…

 

Fred : Ce n’est pas franchement mieux.

 

Théo : L’essentiel c’est la situation. Il faut que le public comprenne la situation.

 

Nati : Ca me semble assez clair.

 

Fred : Mais pourquoi ta pièce s’appelle-t-elle « Comment Kei-Ui détruisit les montagnes ? »

 

Théo : Tu vas voir. Ca s’explique à la fin.

 

Nati : On se dépêche un peu, là, parce que je prends mon service à vingt et une heures. Fred, tu rentres de plus en plus tard.

 

Fred : Pas le choix. Si je veux garder mon boulot, faut que je finisse les projets dans les temps.

 

Léo : Ou qu’ils embauchent.

 

Fred : Rêve toujours, papa. On n’est plus dans ton monde.

 

Théo : Bon, on lit la scène suivante, donc ?

 

Nati : En vitesse, alors.

 

Théo (le chœur) Le Sage des montagnes essaya en vain d’avertir le peuple.

 

Léo / le Sage des montagnes : Peuple des campagnes, ne renoncez pas à tout ce qui fait votre vie.

 

Fred et Nati (le peuple ) : Mais nous y avons déjà renoncé ! Les choses ne sont plus comme autrefois ! Le pays n’est pas sûr ! Les pillards volent nos provisions ! Tous les jours ils sont plus nombreux. Nous devons dormir dans nos garde-manger et nous ne pouvons plus aller aux courses de chiens ou aux compétitions sportives qui faisaient notre bonheur.

 

Fred : Courses de chiens, tu es sûr ?

 

Théo : Ou quelque chose d’approchant… Je chercherai sur  wikipedia !

 

Fred  : Les anachronismes sont intéressants jusqu’à un certain point, mais c’est quand même un effet facile.

 

Théo : Oui, bon, c’est du détail, c’est la situation qui compte. On reprend ?

 

Léo / le Sage des montagnes : Kei-Ui n’a qu’une seule ambition : s’enrichir et enrichir ses proches.

 

Nati et Fred / Le peuple : Tant que nous aurons nos montagnes, nous serons riches. Nos montagnes nous protègent, c’est une vieille tradition qui le dit. Pour le reste, nous faisons confiance à Kei-Ui, il s’occupera de tout.

 

Léo : Tes métaphores sont un peu poussives.

 

Théo : Attends, tu vas voir la suite.

 

Nati : Oui, eh bien, demain peut être, parce que là j’y vais. (elle sort)

 

Fred : Et moi je vais cuisiner quelque chose. Je peux compter sur ton aide, l’artiste, où tu as une urgence d’écriture ?

 

Théo : Steve a dit qu’il nous préparait une spécialité.

 

Fred : Pas sûr d’aimer le ragoût de kangourou.

 

Léo : Toujours les clichés.

 

Fred : Oui, j’aime ça les clichés, papa. Ca me repose. ( Fred et Léo sortent.)

 

Théo : J’arrive dans deux minutes

 

 

Théo : (Au public) : C’est comme ça chez nous tous les jours. Un asile rempli de fous qui aiment la vie et  qui n’hésitent pas à jouer mes pièces de théâtre même si - comme dit mon grand-père Théo - jusqu’à nouvel ordre  Brecht a fait beaucoup mieux. Mais bon, je n’ai que dix-sept ans après tout. Et normalement, il y a deux personnes en plus. Mon petit frère Valère, qui est à l’hôpital, et ma grand-mère Sylvie qui est quelque part sur la route avec son sac à dos. Avant, il y avait aussi mon arrière-grand-père Armand, qui est mort il y a six mois. Et parfois, il y a en plus un ou plusieurs voyageurs qui dorment dans la chambre du grenier, là-haut. En ce moment, c’est Steve, un Australien qui joue du didgeridoo. Mon père, il a demandé si possible que Steve arrête de jouer quand il rentre du boulot. C’est dur pour lui là bas en ce moment dans son entreprise, alors quand il rentre, le plus qu’il puisse accepter, c’est de jouer  un petit rôle dans ma pièce. Ce qui est déjà, je trouve, une grande preuve d’amour paternel.

 

 

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 22:16

valise112116H

 

"Ash-tray " avait un titre anglais mais était écrit en français. "Of salt and cigarettes" a été écrit en anglais, à la demande de James, photographe et cinéaste Londonien, qui cherchait des scripts. je ne sais pas encore s'il a décidé de tourner celui-ci.

C'est l'histoire d'une jeune femme qui emménage dans un nouvel appartement et se heurte presque immédiatement au voisin du dessous, beau gars mais peut être un peu... muffle?

What the hell is going to happen next?

 

Vous pouvez lire un extrait dans la colonne de droite

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25 août 2010 3 25 /08 /août /2010 21:17

10visages.jpg

 

Je participe au projet collectif "sketches à la chaîne" sur le site "Le proscénium"

Cliquer  ICI

   ou entrer cette adresse:   http://www.leproscenium.com/SketchesAlaChaine.php

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27 juillet 2010 2 27 /07 /juillet /2010 10:46

Ici ou ailleurs2 [DVD (NTSC)]-copie-2

 

Ce soir au Hippone ( bar à vins, resto)

Vers 19h 30, 20h lecture 

  d'un ensemble de nouvelles, durée totale 1h environ

On vous attend!

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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 21:45

pont-copie-1.jpg

 

lectures aléatoires ici ou là dans les rues d'Avignon.....nous nous croiserons peut-être

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9 juin 2010 3 09 /06 /juin /2010 20:34

 

jpg_zarafa.jpg Zarafa va renaître!

 

Je cite Radio Grenouille:

 

Du 11 au 13 juin 2010, la Canebière accueille la deuxième édition du Festival du livre, avec une trentaine d’auteurs, des libraires, des éditeurs et de nombreuses associations partenaires.
Une manifestation très grand public pilotée par l’association Couleurs Cactus, à laquelle sont associés concerts, projections de films, ateliers d’écriture et concours de nouvelles.
La coordinatrice du projet, Cécile Silvestri, nous en décrit les objectifs. Elle est accompagnée de l’auteure Danielle Vioux, participante de la manifestation, dont le programme est détaillé ici.

Fête du livre sur la Canebière

 

Programme de la manifestation

http://flc2010.over-blog.com

link ( cliquer ici ou recopier le lien ci dessus)

 

 

L'interview de Cécile Silvestri, qui avait eu la gentillesse de m'inviter ce jour là, c'est sur Radio grenouille avec le lien

http://www.grenouille888.org/dyn/spip.php?article3160

 

Je lis avec Jade Ros "Les enfants du capitaine"  vers 18 h 15 au kiosque

 

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11 février 2010 4 11 /02 /février /2010 17:14
180px-Guignol_in_Lyon_2.jpeg      180px-Guignol_in_Lyon_1.jpeg



J'ai écrit un épisode de "Guignol" à l suite d'une annonce de Yann Molina sur le site "le Proscenium"  (où j'ai d'autres textes en ligne)
En voici un extrait: (le texte fait 6 pages en tout)

Dans un jardin Public: Guignol découvre qu'il a perdu son harmonica

Gnafron : Eh ben mon vieux Guignol qu’est ce que t’as donc à . pleurer ?

Guignol pleure de plus belle


Gnafron
 : les enfants, vous savez pourquoi il pleure mon copain Guignol ? Quoi ? Il a perdu… son bazooka ? … son Koala ?….. Son harmonica ! Mais c’est pas grave ça Guignol ! Un harmonica, tu t’en rachèteras un avec ta prochaine paye

Guignol pleure de plus belle


Guignol
 : Non c’est pas ça ! J’ai plus de paye ! J’ai aussi perdu mon travail ! ! ! ! C’est pour ça que j’ peux me promener aujourd’hui ! J’perds tout ! !

Gnafron
 : Mais tu l’as perdu où ton travail ? On va le chercher avec toi ! pas vrai les enfants ?

Guignol
 : Mais non ! Ca marche pas comme ça mon vieux copain. J’ai perdu mon travail parce que l’usine a fermé ! Et maintenant ils ont tout vidé et y a plus rien ! Et ils vont en faire une autre!

Gnafron
 : eh ben tu vois !

Guignol
 : Ils vont en faire une autre en Chine 

Gnafron
 : Ah ça c’est sûr ça fait un peu loin pour aller travailler !

Guignol
 : J’ose même plus rentrer à la maison parce que j’ai peur de le dire à ma femme !

Gnafron
, C’est comme moi, exactement. Ca fait six mois que plus personne m’amène ses grolles et que j’ose plus rentrer chez moi. D’ailleurs, je me rappelle plus très bien où j’habite.

Guignol
 :Tiens, qu’est ce que c’est que ça.

Gnafron
( cache sa bouteille) Où ça ?

Guignol
 : Non, là !


Même jeu
Guignol va ramasser un portefeuille bien rempli. Les billets dépassent de partout

Guignol
 : Ca ! !

Ils ouvrent le portefeuille

Gnafron
 : Oh la là ! Ca c’est un portefeuille de riche ! C’est au moins un banquier ! On va l’garder !

Guignol
 : Ah non ! Faut pas faire ça. J’suis honnête, moi ! J’vais’l rapporter à son propriétaire . Peut être qu’il y aura une récompense. Pour une fois que j’trouve quelque chose au lieu de tout perdre !

Il le met dans sa sacoche
Apparaît le gendarme

Guignol
 : Tiens, le gendarme ! Et si j’y donnais le portefeuille ?

Gnafron
 : Oh la la ! Vaut mieux le rapporter à son propriétaire !

Le gendarme
 : Bien le bonjour messieurs. Dites moi, vous n’auriez pas vu…… ?

Gnafron
 : Ah non non non, nous n’avons rien vu !

Il fait
des grands signes à Guignol

Guignol
Ah si si si, justement nous avons vu….

Gnafron
 : ….Un type qui partait en courant par là-bas

Le gendarme
 : par là bas ?

Guignol a compris mais indique la direction opposée

Guignol
 :Par là bas

Le gendarme
 : par là bas ou par là bas ? Faudrait savoir

Guignol
 : Demandons aux enfants. Par là bas ou par là bas ? Comment ? Qu’est ce que vous dites ? Ah, y savent rien ces gonnes là.

Le gendarme
 : Et il est comment votre type ?

Gnafron
Très louche ! très très louche !Genre bandit des grands chemins !

Guignol
 : Genre délinquant !

Gnafron
 : Genre dangereux !

Le gendarme
 : Oh il vaut mieux que je m’en occupe vite !
............................................................................(à suivre)
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31 janvier 2010 7 31 /01 /janvier /2010 16:25
IMG_0008--DVD--NTSC----DVD--NTSC--.jpg


l'article plus lisible: ( également  après correction de la date de projection , du titre du film, et de l'orthographe de mon nom...)
"Le Tango du poulailler :
du cinéma "Made in Salon"

Publié le dimanche 24 janvier 2010 à 16H34

Ce dernier court-métrage du clubciné-vidéo doit être présenté fin février

 

16h30. L'équipe de tournage du club "Cinévidéo" de la MJC est déjà en place dans la rue, prête à lancer les moteurs. En cette fin d'après-midi, il y a juste ce qu'il faut de lumière dans l'atmosphère pour être raccord avec les scènes précédentes, mais la fenêtre de tir est courte. Dans une demi-heure, la nuit se sera glissée dans la petite rue passante et bruyante des Ursulines et il sera trop tard. Il faut tout à la fois ajuster l'image, s'assurer de la bonne qualité du son, diriger les acteurs et composer avec les trous de mémoire; car si grâce au numérique on ne manque plus de pellicule, le temps en revanche reste compté. Il faut travailler vite pour avoir le temps de mettre en boîte les différentes prises, les plans, les champs et les contrechamps. Le montage doit bientôt commencer pour une présentation au public salonais ce mois-ci. Mais les cinéastes amateurs maîtrisent leur dispositif en professionnels: chacun trouve rapidement sa place autour de la petite caméra et des jeunes sont chargés d'arrêter les voitures et d'orienter les passants hors du cadre quand les moteurs tournent. Tournage à Marseille et à Salon Cette scène réalisée à Salon était la dernière du "Tango des poulaillers", le premier court-métrage écrit et réalisé par Danielle Vioux. Tout le reste a été tourné à Marseille il y a quelque temps, dans un quartier du 3e arrondissement, mais la production est bel et bien 100% salonaise. L'équipe technique conduite par Jeanne Glass est issue du "Club ciné vidéo" de la MJC de l'Espace Trenet, les acteurs (dont neuf enfants et adolescents) sont tous du coin et la musique originale a été composée par un artiste local, Thierry Dary, et interprétée par les comédiens eux-mêmes. "L'histoire pourrait se situer dans quelques années, mais elle me semble très actuelle et en même temps, elle nous renvoie à certaines pages d'histoire. C'est l'histoire universelle d'une femme appelée la "comtesse" qui héberge un grand nombre d'enfants. Leur voisin, "le Poète" est un personnage ambigu et la population de cette société-fiction est encadrée par la "Nouvelle police", une sorte de milice." Que font-ils là? quelles sont leurs motivations? Ces questions se posent au spectateur tout au long de ce film auquel la réalisatrice a souhaité donner une portée sociale. Le stress du montage "J'ai hâte de le voir quand il aura été définitivement cousu par le montage. Mais pour l'instant, je suis encore dans une phase de stress, tant que le montage n'est pas achevé, on a toujours peur de ne pas avoir tout ce dont on aura besoin et d'être obligé de retourner certaines scènes" confie Danielle Vioux légèrement anxieuse mais surtout stimulée par cette première expérience cinématographique.

Romain CANTENOT (rcantenot@laprovence-presse.fr)

 

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30 décembre 2009 3 30 /12 /décembre /2009 16:27



Ici-ou-ailleurs2--DVD--NTSC---copie-2.jpg

Cette nouvelle affiche accompagne notre lecture

"Ici ou ailleurs nous serons toujours là" est  un ensemble composé de 5 nouvelles
 (durée 5  à 25 mn - durée totale environ 1h 10 mn)
Ecriture et lecture: Danielle Vioux
Accordéon: Jade Ros

Lecture disponible , nous contacter pour modalités
A l'occasion, d'autres musiciens et une expo photos de Marian Desmons peuvent accompagner la lecture.

Las lectures précédentes ( "Autour du végétal", "Carnets de voyages imaginaires" ) sont toujours disponibles en lecture à deux voix accompagnées d'un accordéon et parfois d'autres instruments.

Nous contacter par ce blog (contact colonne de gauche en haut ou laisser un commentaire)
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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 21:41




Ce week-end nous avons pratiquement fini le tournage de ce court métrage. ( Voir extrait du scénario dans la colonne de droite). Tournage mouvementé mais plein d'enseignements! Il reste une demi séquence à tourner dès que possible et peut être quelques plans à re-tourner .
Le film devrait être projeté en février à Salon et en mars au festival de Ventabren.
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